Pwobabilite aswe a | Tiraj Rapid

Tout ekip la deside mete tèt yo asanm pou bay pwonostik bòlèt la, maten kou aswè. 

Pwonostik sa yo pral ba'w chak jou 5 boul bòlèt k'ap pwobab pou soti pou jounen an.

MEN BOUL KI PWOBAB YO

Maten: ❓❓❓❓❓

Aswè: ❓❓❓❓❓



Boul bòlèt sa yo pral ba'w posibilite pou genyen lan bòlèt lisa, bòlèt pipre, loto mobil, 1Xbet, Lesly center mèt bòlèt, Père Eternel loto ak tout lòt yo.


Konsèy Pou Fanatik Nou Yo

1) Pa jan m mize yon kantite kòb ke w pa prè pou mize.

2) Toujou jwe boul yo ak tout revè..

3) Si'w se minè pa jwe.

NB: boul sa yo se pwobabilte boul ki ka soti yo ye. Bòlèt pa janm sur a 100%. Men nou pwomèt ou ke si'w swiv nou w'ap konn kijan pou genyen lan bòlèt la pi souvan.


            Sais-tu que?                         

Les loteries et les présidents américains


Les Pères fondateurs des États-Unis étaient de grands adeptes de la loterie, pour des raisons tant politiques que personnelles. Tous, de George Washington à Benjamin Franklin, mirent en place des loteries au nom de la liberté et à des fins de financement.

En 1747, le problème le plus urgent n'était pas le contingent armé, mais l'argent. La solution de Franklin consistait à organiser une loterie ; elle remporta un tel succès qu'il clama qu'autant de billets avaient été vendus en sept semaines à Philadelphie qu'en sept mois pour les loteries de New York et de la Nouvelle-Angleterre. Avec les recettes, il acheta un canon pour protéger Philadelphie.


Environ 30 ans plus tard, George Washington tenta de mettre en place une loterie afin de lever des fonds pour la création d'une route à travers les monts Allegheny en Virginie et d'une station de vacances à l'endroit que nous connaissons maintenant sous le nom de The Homestead (à Hot Springs, en Virginie).

Ce fut un échec, notamment en raison de l'augmentation du nombre de loteries à l'époque. Les tickets de loterie, signés par George Washington, sont devenus des objets de collection. L'un des 25 tickets restants fut vendu 13 500 $ en 2006.

Cependant, personne ne fut plus ardent défenseur des loteries que Thomas Jefferson. Jefferson tenta, avec son petit-fils, d'organiser une loterie afin de s'acquitter de ses dettes. Dans l'espoir de convaincre le corps législatif de la Virginie, il écrivit ces paroles restées célèbres : « Loin d'être immorales, elles sont indispensables à l'existence des hommes ». Heureusement pour lui, il mourut sans savoir que son projet n'avait pas abouti.